Somme de réactions collectées dans les rues de Douala, Abong-Mbang, Yaoundé, Bamenda, Douala…Les rues et les quartiers du Cameroun ressemblent désormais à des poudrières, prêtes à exploser à la moindre occasion. La réaction des populations voisine du collège La Maturité à Douala mercredi 17 octobre 2007 est un signe qui ne trompe plus désormais. " C'est le manque d'emploi. Parce que si les gens étaient occupés, ils ne risqueraient pas de se faire tuer de la sorte. C'est le chômage ", dit Philippe, conducteur de moto taxi à Douala. Pour Pascal, son collègue, " c'est la pression, les gens vivent constamment sur les nerfs. Moi par exemple, je suis titulaire d'un Bac D depuis 1998, j'avais vingt-et-un (21) ans à l'époque. Je suis conducteur de moto taxi, vous croyez que c'est un métier que je mérite ? ", s'interroge-t-il. Pour lui, les gens sont au quartier, oisifs. Lire la suite
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