• Full Screen
  • Wide Screen
  • Narrow Screen
  • Increase font size
  • Default font size
  • Decrease font size
Christopher Fomunyoh: le Leader, le politique et l'humaniste - Accusation gratuite

Christopher Fomunyoh: le Leader, le politique et l'humaniste - Accusation gratuite

Envoyer Imprimer PDF
Note des utilisateurs: / 0
MauvaisTrès bien 
Index de l'article
Christopher Fomunyoh: le Leader, le politique et l'humaniste
Accusation gratuite
Christopher Fomunyoh: l'intellectuel et l'humaniste au grand coeur
Né pour être Leader
Toutes les pages
Commentaire
Accusation gratuite
Récemment une certaine opinion voyait la main de Christopher Fomunyoh derrière les mouvements dans les régions anglophones. Spéculation ou désir de discréditer un adversaire politique réel ou supposé. D’ailleurs, quand on est un homme public qui nourrit de grands rêves pour son pays, on doit à tout moment s’attendre à ce genre d’attaque et d’accusations malsaines, farfelues et très souvent tirées par les cheveux. Le monde politique est ainsi fait. C’est un monde féroce. Ce n’est pas un univers fait pour des moines trappistes, mais pour des bagarreurs. C’est un univers où tous les coups sont permis, où tous les moyens sont bons quand ils sont efficaces pour déstabiliser et détruire un adversaire. Selon ses proches, Christopher Fomunyoh est un homme de paix et de la non-violence profondément républicain et démocrate, qui défends l’Etat de droit. On dirait, affirment-ils que la République et la Démocratie sont inscrites dans son patrimoine génétique. Et quand il parle de République et de Démocratie, il ne s’agit ni de République ou de Démocratie ethnique, tribale ou villageoise, ni de République ou de Démocratie des copains et coquins ou mises à leur service, mais de République et de Démocratie authentiques où :
- l’intérêt général est placé au cœur des préoccupations des dirigeants à tous les niveaux ;
- il y a séparation effective des pouvoirs entre l’exécutif, le législatif et le judiciaire ;
- la justice est indépendante avec le conseil supérieur de la magistrature présidé par un magistrat ;
- les droits fondamentaux de l’homme sont respectés ;  
-la corruption est combattue avec la dernière énergie et une loi contre ce fléau est adoptée et promulguée ;
- la transparence et la reddition des comptes sont érigées en principe de gouvernance ;
- une loi sur la transparence dans la gestion des affaires publiques est votée et promulguée ;
- la méritocratie prime sur toutes les autres considérations ;
- la déclaration des biens et avoirs est effective et est faite au moment de l’entrée en fonction et au moment de la sortie ; l
- es élections libres, équitables et justes sont organisées par un organisme véritablement indépendant mise en place après avoir discuté avec tous les acteurs sociaux et après avoir arrêté consensuellement les règles du jeu ;
- un consensus est trouvé autour du Code électoral ; le calendrier électoral arrêté une fois pour toute est connu de tous les Camerounais, etc.
C’est un homme de dialogue pour qui il n’ y a pas sujet tabou. « Vous pouvez discuter avec lui sur toutes les questions. Au moment où les grands ensembles se forment partout ailleurs dans le monde, l’émiettement de nos pays en des Etats lilliputiens est contreproductif pour le développement et pour l’intégration nationale et africaine. », soutient un proche
Si on suit la logique de cette opinion la main du chef de l’Etat serait derrière ces mouvements, lui qui avait déclaré le 31 décembre 2016, je cite, « […] Les libertés politiques et syndicales sont effectives dans notre pays. Elles sont garanties et encadrées par nos lois et règlements. Dans ce cadre, chaque citoyen est bien fondé d’exprimer son opinion sur tout sujet de la vie nationale, y compris par l’observation pacifique d’un mot d’ordre de grève, dûment déclaré. Il s’agit d’un droit fondamental du citoyen, voulu par le peuple camerounais puisque garanti par la Constitution. ».
Ikemefuna Oliseh