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Comment la France tue, pille le Cameroun et l’Afrique - Le parachutage putschiste international d’un favori néocolonial et globalo-impérial en Côte d’Ivoire : un épisode post-électoral d’humanisme militaire et de démocratisme martial mené par la France françafricaine.

Comment la France tue, pille le Cameroun et l’Afrique - Le parachutage putschiste international d’un favori néocolonial et globalo-impérial en Côte d’Ivoire : un épisode post-électoral d’humanisme militaire et de démocratisme martial mené par la France françafricaine.

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Index de l'article
Comment la France tue, pille le Cameroun et l’Afrique
La Françafrique: conception et naissance
Cameroun: pays clef de la Françafrique
Visages et virages de la Françafrique au Cameroun
Les géniteurs et les serviteurs de la Françafrique au Cameroun
La Françafrique: une spécificité française?
Françafrique: quel changement?
Odile Tobner: Racisme français: refuser toute forme de condescendance et de dépendance
Une citadelle attaquée: Discours, stratégies et actions des organisations camerounaises opposées à la Françafrique.
Économies et diplomaties au service de la France
Chaque peuple doit connaître son histoire et en comprendre les ressorts
Françafrique: noyau dur des relations Nord-Sud
L'actualité de la Françafrique
L'avenir possible
Éléments de prospective géopolitique et stratégique sur les relations franco-africaines à l’ère de la mondialisation : France-Afrique ou Françafrique ?
Le parachutage putschiste international d’un favori néocolonial et globalo-impérial en Côte d’Ivoire : un épisode post-électoral d’humanisme militaire et de démocratisme martial mené par la France françafricaine.
Transformer l’Afrique en son propre centre : Utopie ou réalité ?
Toutes les pages
Le parachutage putschiste international d’un favori néocolonial et globalo-impérial en Côte d’Ivoire : un épisode post-électoral d’humanisme militaire et de démocratisme martial mené par la France françafricaine.
Quoiqu’elles s’abritent commodément derrière la résolution 1975 du Conseil de sécurité, résolution initiée par elle avec l’appui de la République fédérale du Nigeria pour protéger les Ivoiriens contre les armes lourdes (du pouvoir Gbagbo), les autorités gouvernantes de la République française appuyées par l’Onuci ont perpétré un véritable coup de force pour mettre fin à la crise politico-militaire, politico-culturelle et politico-électorale de Côte d’Ivoire. À cet effet, il s’est agi pour la puissance tutrice française d’user de son avantage rentier de métropole néocoloniale pour trancher la crise de souveraineté opposant les groupes politiques conservateurs-houphouëtistes du Rhdp-Ouattara et républicains-refondateurs-posthouphouëtiste de la Lmp-Gbagbo. Nicolas Sarkozy et son gouvernement ont fini par révéler au grand jour que la puissance tutélaire française ne pouvait guère se résoudre à une position de neutralité et d’impartialité dans la conjoncture de montée aux extrêmes de la crise ivoirienne.

La France officielle – stratégiquement soucieuse d’affermir à nouveau un strict contrôle tutélaire et clientélaire sur les commandes étatiques du pouvoir ivoirien -, a mené à terme sa démarche de réinstallation contraignante d’une élite gouvernante ivoirienne résolument collaboratrice et conservatrice et recrutée dans la pépinière néocoloniale de l’houphouëtisme.