Rebonds
Elecam divise l’Église catholique
Les injustices de la Justice
Le président de la cour d’appel du Mfoundi confirme l’ordonnance rendue par le président du tribunal de grande instance, Gilbert Schlick, le 27 mai 2010, sans donner la possibilité à Me Yen Eyoum Lydienne de présenter sa demande.
Suite à l’ordonnance n°33/HC rendue le 27 mai 2010 par Schlick Gilbert, président du tribunal de grande instance du Mfoundi, statuant en matière d’Habeas Corpus et siégeant en la salle ordinaire de ses audiences sis au palais de justice de Yaoundé, la demande de libération immédiate présentée par Me Lydienne Yen Eyoum est rejetée. Le 1er juin 2010, l’intéressée interjette appel de cette décision devant le président de la cour d’appel du Centre.
Un voyou nommé au secrétariat permanent du Conseil national de sécurité
Entre dérives instrumentales du réseau Esso et la criminalisation de l’État
L’ascension de Paul Atanga Nji est une bizarrerie de trop qui sonne le glas de la compétence et de la méritocratie et dévoile toutes les incohérences de la nouvelle gouvernance de Paul Biya caractérisée par la dissonance entre le verbe et l’action. L’acte présidentiel laconique fait du Cameroun le modèle parfait d’un État naufragé. Pris dans la confrérie pouvoiriste d’Esso, Paul Biya n’attend plus que sa liquidation
Électricité: L’Arsel et le gouvernement impuissants face à Aes/Sonel
Le gouvernement et l’Arsel avait sommé Aes/Sonel de surseoir à la mesure prise unilatéralement de réajuster les tarifs d’électricité. Aes/Solen fait la soude oreille. Le nouveau Dg de l’Arsel, impuissant, se contente de prendre l’opinion publique à témoin. Les consommateurs camerounais, clients d’Aes Sonel, n’en reviennent pas. Certains ont perdu leur latin après avoir écouté le communiqué du nouveau directeur général de l’Agence de régulation du secteur de l’électricité (Arsel), Jean Pierre Kedi. Dans ce communiqué largement diffusé, le jeudi 19 août 2010, le nouveau Dg écrit :
Les grossiers mensonges d'Amadou Ali
Amadou Ali perd le Nord
Le ministre de la justice, Amadou Ali tente de jeter la poudre aux yeux des responsables et lecteurs de Jeune Afrique, hebdomadaire paraissant à Paris. Sans convaincre.
François Soudan, dans Jeune Afrique n°2561, édition du 07 au 13 février 2010, commet un éditorial sur les " prisions d'Afrique ". Dans cet éditorial, le directeur de la rédaction de cet hebdomadaire paraissant à Paris relaie les propos d'un certain Sylvestre Ottou, détenu à la prison centrale de Kondengui, Yaoundé, quartier 8, cellule n°93, contenus dans une correspondance
Les grossiers mensonges d'Amadou Ali
Amadou Ali perd le Nord
Le ministre de la justice, Amadou Ali tente de jeter la poudre aux yeux des responsables et lecteurs de Jeune Afrique, hebdomadaire paraissant à Paris. Sans convaincre.
François Soudan, dans Jeune Afrique n°2561, édition du 07 au 13 février 2010, commet un éditorial sur les " prisions d'Afrique ". Dans cet éditorial, le directeur de la rédaction de cet hebdomadaire paraissant à Paris relaie les propos d'un certain Sylvestre Ottou, détenu à la prison centrale de Kondengui, Yaoundé, quartier 8, cellule n°93, contenus dans une correspondance
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